eau
Rendre accessible l’information sur la santé et l’environnement : le CLS Médoc relance la mobilisation des habitants pour un troisième calendrier.
Connaître son territoire, comment il fonctionne, ses ressources… les calendriers co-écrits par des habitants et l’équipe du PNR du Médoc visent à rendre plus accessibles et compréhensibles les informations en lien avec la santé et l’environnement sur le territoire médocain
Santé & Territoires Nouvelle Aquitaine
Depuis 2 ans le Parc Naturel Régional (Pnr) Médoc propose un calendrier sur des sujets de santé et d’environnement en Médoc, co-écrit par des habitants et l’équipe du Parc naturel
Dans le cadre du Contrat Local de Santé du Médoc, les plateformes « Hommes et milieux » et « Santé-social » du Parc naturel régional Médoc, avec l’appui technique de l’IREPS Nouvelle-Aquitaine, ont réalisé, pour cette deuxième édition, un calendrier sur le thème de l’eau intitulé « Mon eau en Médoc ».
- Télécharger le calendrier 2021 « Mon eau en Médoc »
- Télécharger le communiqué de presse sur la sortie du calendrier 2021
Ce calendrier s’inscrit dans les mêmes enjeux de réduction des inégalités sociales et territoriales de santé que la première édition : mieux prendre en compte les différents niveau de littératie en santé des personnes qui vivent sur le territoire en facilitant l’accès et la compréhension des informations sur la santé et l’environnement.
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L’impact des médicaments sur l’environnement étudié dans des rivières artificielles
Les services rendus par les écosystèmes aquatiques sont d’une importance capitale, qui conduit à une attente sociétale forte quant au maintien de leur qualité. Or ces milieux sont le réceptacle d’un grand nombre de substances contaminantes émises par les activités humaines. Les effluents issus des stations d’épuration se révèlent être une source majeure et chronique de pollution, en particulier par des molécules dites « émergentes », catégorie qui inclue les médicaments et dont les impacts sur l’environnement sont très mal connus.
Qualité de l’eau potable : la confiance des usagers est maintenue
La crise sanitaire a-t-elle érodé la confiance des usagers dans la qualité de l’eau du robinet ? La réponse est non selon les derniers résultats du baromètre national que le Centre d’information sur l’eau (Cieau) a dévoilés ce 5 novembre.
Qu’est-ce qui rend les poissons obèses ?
Vidéo Publié le
Les poissons zèbres nous apprennent bien des choses sur notre environnement ! C’est en échangeant avec le professeur Patrick BABIN, du laboratoire Maladies Rares – Génétique et Métabolisme (INSERM – Université de Bordeaux) que l’on découvre comment cet animal se révèle d’une aide précieuse pour comprendre l’impact des micro-polluants sur les milieux aquatiques et l’homme.
Cette vidéo a été réalisée par les associations CESEAU et OSE avec l’aide d’Alexandre Nocart et avec le soutien de la Région Nouvelle-Aquitaine, de l’Agence Régionale de Santé Nouvelle-Aquitaine, de l’Agence de l’eau Adour-Garonne, du Ministère de la Transition écologique et solidaire et de Eau Bordeaux Métropole.
Des pesticides perturbateurs endocriniens, cancérigènes mutagènes et reprotoxiques dans l’eau du robinet en France en 2019
L’objet de cette enquête est l’analyse des résultats des contrôles sanitaires de l’eau du robinet réalisés dans le cadre d’analyses réglementaires par les agences régionales de santé. Les données correspondent à l’année 2019 et sont fournies par le ministère des solidarités et de la santé sur le site data.gouv.fr.
https://www.generations-futures.fr/actualites/exppert-12-pesticides-eau-robinet/
7e conférence Eau et Santé
La prochaine conférence Eau & Santé se déroulera les 7 et 8 novembre 2019. Elle porte en particulier sur les médicaments et détergents-biocides dans l’eau : la caractérisation des apports, l’évolution des flux dans les systèmes d’assainissement, les impacts environnementaux et sanitaires, la réduction à la source et les leviers d’actions.
Qualité des eaux de baignade : 93% des sites de baignades classés de bonne ou excellente qualité en 2018 – Ministère des Solidarités et de la Santé
Le bilan des analyses microbiologiques menées au cours de la saison balnéaire 2018 sur 3 351 sites de baignades (1 289 en eau douce et 2 062 en eau de mer) montre que 93 % des sites ont été classés d’excellente ou de bonne qualité, avec une qualité des eaux en amélioration depuis 2 ans. Les résultats des analyses microbiologiques publiés en temps réel durant toute la saison balnéaire sur le site baignades.sante.gouv.fr permettent aux vacanciers et aux personnes résidant à proximité de zones de baignade de connaître la qualité des eaux du point de vue sanitaire. Ils permettent également aux autorités sanitaires de surveiller en permanence la qualité des eaux et de prévenir les risques pour la santé humaine.
De nouvelles règles sanitaires pour les baignades artificielles
Jusqu’à présent, les baignades artificielles (plans d’eau, bassins « biologiques »…) échappaient à toute réglementation sanitaire. Le décret précise la procédure d’ouverture au public, la qualité de l’eau à respecter, les modalités de contrôle, etc.
Source : De nouvelles règles sanitaires pour les baignades artificielles
Surveillance de la qualité des eaux de consommation et protection de la santé humaine : l’Anses propose une méthode pour identifier les métabolites de pesticides pertinents
Les pesticides diffusent dans les milieux naturels où ils peuvent s’y transformer en une ou plusieurs autre molécule appelée « métabolite ». Ces métabolites chimiques sont susceptibles de contaminer les ressources en eau, voire l’eau distribuée au consommateur. Les contrôles de qualité des eaux révèlent de plus en plus de situations de dépassement des limites de qualité réglementaires nécessitant des mesures de gestion avant distribution. Afin de répondre à ces enjeux, la Direction générale de la santé a saisi l’Anses pour définir une méthodologie permettant d’identifier les métabolites pertinents réglementés par la directive relative à la qualité des eaux destinées à la consommation humaine (EDCH). L’Anses propose ainsi aux autorités de gestion une méthode pour identifier, parmi les métabolites de pesticides, ceux qui devront faire l’objet d’une attention prioritaire au regard des enjeux sanitaires associés à la consommation de l’eau de boisson.
Avis relatif à un projet d’indicateur global de la qualité de l’eau destinée à la consommation humaine
Le Haut Conseil de la santé publique (HCSP) rend un avis sur le projet d’indicateur global de la qualité de l’eau destinée à la consommation humaine. Cet indicateur a été élaboré par la Direction générale de la santé et les agences régionales de santé (ARS). Il entend améliorer l’information du public sur la qualité de l’eau distribuée. Il est destiné à être inséré dans la fiche infofacture (IF) transmise, une fois par an, aux consommateurs. L’indicateur s’apparente à un code couleur correspondant à 4 niveaux d’impact sanitaire lié à des « non conformités » survenues dans l’année écoulée au sein de l’unité de distribution.
