qualité de vie

“Quelles politiques environnementales à destination des quartiers populaires ?”, Profession banlieues

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« Depuis que les institutions politiques se sont saisies des questions et des enjeux écologiques, le paradigme semble être le même : agir sur le consommateur, sur l’individu et sur son mode de vie. Pourtant, certaines de ces méthodes sont aujourd’hui remises en cause car considérées comme inopérantes, voire inadaptée. Au lieu de mobiliser, elles tendraient à accroître le fossé entre, d’un côté, les classes supérieures et moyennes, qui ont les moyens financiers de changer leurs habitudes de vie et de consommation, et d’un autre, les classes populaires, pour lesquelles l’application des « écogestes » peut être vécue comme une injonction et avoir pour conséquence de dégrader leurs conditions de vie. »

Source : https://www.professionbanlieue.org/Quelles-politiques-environnementales-a-destination-des-quartiers-populaires

« Chaleur, pollution de l’air et manque de végétation : les plus défavorisés sont aussi les plus exposés », The Conversation

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« Alors que le changement climatique s’accélère partout sur la planète, un nombre croissant d’études suggère que l’exposition à la chaleur, cumulée à l’exposition à d’autres facteurs environnementaux, tels que la pollution de l’air ou l’absence de végétation, peut accroître les vulnérabilités en matière de santé.

Cela est d’autant plus vrai que les populations les plus exposées sont souvent aussi les plus défavorisées. Protéger au mieux la santé nécessite donc de mieux comprendre les interactions entre expositions environnementales et défaveur sociale. […] »

Source : https://theconversation.com/chaleur-pollution-de-lair-et-manque-de-vegetation-les-plus-defavorises-sont-aussi-les-plus-exposes-225518

[Webinaire] « La santé au cœur de l’habitat », Club de l’Amélioration de l’Habitat, mars 2024

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« Le Club de l’Amélioration de l’Habitat vous donne rendez-vous à son prochain webinaire « La santé au cœur de l’habitat » le vendredi 29 mars de 11h à 12h.

Interviendront :
– Dr. Fabien SQUINAZI, Président de la commission environnement du Haut Conseil de la santé publique (HCSP)
– Claude BOCEK, Vice-président délégué de l’Association Française de la Ventilation

Au programme :

– Domiscore : Comment évaluer l’habitat sous l’angle santé et bien-être des occupants ? Un outil innovant élaboré par le HCSP

– Qualité de l’Air Intérieur : Quel impact sur notre santé ? Les recommandations de l’AF Ventilation. »

Source : https://cah.fr/actualites/webinaire-la-sante-au-coeur-de-lhabitat/

“Lien entre la concentration en CO2 dans les salles de classe et l’apprentissage des enfants”, Santé publique France

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« Une vingtaine d’études ont été publiées depuis 2013 sur le lien entre les concentrations en CO2 dans les salles de classe et les performances cognitives et scolaires des enfants, dont près de trois quarts d’articles individuels (n=16). Les résultats de ces études vont globalement en faveur d’un effet positif du renouvellement d’air sur l’apprentissage des enfants. Néanmoins, seul un faible nombre (n=4/16) a été jugé comme ayant une qualité globalement satisfaisante, et aucune d’entre elles n’a été jugée applicable au contexte français. Aujourd’hui, les données disponibles ne sont donc pas suffisantes pour disposer d’une relation concentration-risque permettant d’envisager l’application d’une démarche d’évaluation quantitative d’impact sur la santé (ÉQIS). Ces données constituent néanmoins un argument supplémentaire de l’importance de l’amélioration du renouvellement de l’air dans les établissements scolaires. » [Résumé éditeur]

Source : https://www.santepubliquefrance.fr/determinants-de-sante/pollution-et-sante/air/documents/enquetes-etudes/lien-entre-la-concentration-en-co2-dans-les-salles-de-classe-et-l-apprentissage-des-enfants?utm_source=brevo&utm_campaign=Lettre%20dactualits%20documentaires%20285&utm_medium=email

“Évaluation quantitative d’impact sur la santé (ÉQIS) de la qualité de l’air dans et autour des établissements scolaires. Pertinence, faisabilité et première étude nationale ?” Santé publique France

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« Garantir une qualité de l’air favorable à la santé dans les établissements scolaires est un enjeu de santé publique mais encore insuffisamment pris en compte. La réalisation d’évaluation quantitative des impacts sur la santé (ÉQIS) de la pollution de l’air de ces environnements pourrait être un bon levier pour convaincre les acteurs de l’importance d’agir. Dans ce contexte, une étude de pertinence et de faisabilité a été menée et a permis de distinguer deux approches possibles pour déployer de premières ÉQIS sur le sujet : Une première approche ayant pour objectif d’évaluer l’impact d’une amélioration de la qualité de l’air des salles de classe des écoles élémentaires – en considérant les concentrations en formaldéhyde et la présence de moisissures – sur la prévalence de l’asthme de l’enfant de 6 à 11 ans ; une deuxième approche s’intéressant aux bénéfices d’une réduction de l’exposition aux polluants issus du trafic routier présent à proximité des établissements scolaires – en considérant le NO2 comme marqueur de cette pollution – sur l’asthme de l’enfant. » [Résumé éditeur]

Source : https://www.santepubliquefrance.fr/determinants-de-sante/pollution-et-sante/air/documents/enquetes-etudes/evaluation-quantitative-d-impact-sur-la-sante-eqis-de-la-qualite-de-l-air-dans-et-autour-des-etablissements-scolaires.-pertinence-faisabilite-et?utm_source=brevo&utm_campaign=Lettre%20dactualits%20documentaires%20285&utm_medium=email

[Webconférence] « Lien santé & environnement : le rôle stratégique des Conseillers Habitat Santé », avec SOLIHA Vaucluse, jeudi 18 janvier, Le souffle 84

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« Dans le cadre de son programme de sensibilisation et de mobilisation des acteurs locaux dédié à la qualité de l’air et à la santé environnementale, Le Souffle 84 organise une série de webconférences ayant pour vocation de proposer un panorama à 360° du fardeau que représente la pollution atmosphérique pour notre santé environnementale, mais aussi de préciser les politiques publiques mises en place en la matière ou encore de mettre en exergue des leviers pertinents, déjà existants.

Cette webconférence est consacrée au rôle stratégique des « Conseillers Habitat Santé » en matière de  santé environnementale :  découvrir le métier de ces intervenants ; mieux comprendre le lien entre santé et environnement ; identifier les principaux polluants de la qualité de l’air intérieur ; s’en protéger et adopter les bons réflexes, sont quelques aspects qui seront abordés à cette occasion.  » [Résumé éditeur]

Source :https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSfgqeO8AwgBsbqVPr6-NWy_NnTGIF9WOIsYeSapg7CuvB7H7w/viewform

« Proximité à la nature, une source de bien-être », CREDOC, Institut pour la recherche de la Caisse des Dépôts

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« L’artificialisation des sols, en lien avec l’étalement urbain, est aujourd’hui l’une des causes premières du changement climatique et d’érosion de la biodiversité. La France s’est fixée en 2021 l’objectif de « Zéro artificialisation nette » (ZAN) à partir de 2050. Concrètement les territoires – communes, départements, régions – doivent réduire de 50 % leur rythme de consommation des espaces naturels, agricoles et forestiers d’ici 2030. À l’impératif écologique s’ajoute la nécessité d’offrir un cadre de vie agréable aux habitants, souvent associé à la présence d’espaces naturels. Deux objectifs pas toujours simples pour les élus locaux qui doivent aussi répondre aux besoins des habitants en termes de logements et d’infrastructures, développer l’attractivité économique de leurs territoires et attirer des entreprises. Des dynamiques qui se sont, pendant ces trente dernières années, souvent accompagnées d’une artificialisation des sols. Au niveau des territoires, de nouvelles voies d’aménagement du territoire se développent aujourd’hui pour tenter de répondre à ces objectifs sans élargir les surfaces urbanisées : création de dynamiques d’acteurs inédites, travail au niveau de l’établissement public de coopération intercommunal plutôt que de la commune, restauration des continuités écologiques, réhabilitation des friches… L’étude du CREDOC, en rapprochant les données géographiques sur l’artificialisation des sols, des perceptions de la population française sur leur qualité de vie, confirme le dilemme pressenti par les élus. D’un côté, le maintien d’espaces faiblement artificialisés a bien un impact positif sur le bien-être de la population, et la satisfaction à l’égard du cadre de vie. De l’autre, les espaces fortement artificialisés offrent aujourd’hui un accès facilité à des biens et des services nombreux et diversifiés et à des bassins d’emploi ; un dynamisme économique allant de pair avec une moindre précarité des répondants. » [Résumé éditeur]

Source : https://www.credoc.fr/publications/proximite-a-la-nature-une-source-de-bien-etre