eau
“PRSE4 Auvergne-Rhône-Alpes”, La santé environnement en Auvergne-Rhône-Alpes
« Le 4ème Plan Régional Santé-Environnement (PRSE4) Auvergne-Rhône-Alpes entend contribuer à l’intégration de la santé-environnement dans les politiques publiques à l’échelle régionale et locale. Ses buts sont de répondre aux préoccupations des citoyens et des acteurs des territoires sur le lien entre santé et environnement, et de les inciter à agir pour prévenir les risques pour leur santé dans une approche favorable à la santé humaine, animale, végétale et des écosystèmes, c’est-à-dire dans une approche « Une seule santé ».
Le PRSE4 est structuré autour de 3 axes et 11 fiches d’actions, pour relever le défi des « territoires en actions » en matière de santé-environnement, par la promotion de la santé et la réduction des risques. Les 3 axes ont été conçus dans une approche intégrée, au sens où ils se complètent et sont étroitement articulés les uns avec les autres. »
Source : https://www.auvergne-rhone-alpes.prse.fr/telechargez-le-prse4-auvergne-rhone-alpes-a260.html
Campagne 2023 Santé-Environnement “Unis pour la vie” et « C’est possible ! », IREPS ARA, Graine ARA, ARS ARA, Mutualité française ARA, Métropole de Lyon, département Cancer Environnement du Centre Léon Bérard
Deux campagnes dont l’objectif est de :
- Participer à la prise de conscience des citoyens qu’il
existe des liens entre la santé humaine, animale,
végétale et des écosystèmes - Suggérer des pistes d’actions accessibles à tous
permettant d’agir à la fois sur la santé et
l’environnement
Source : https://c-possible.net/c-possible
[Brochure] « L’eau de pluie, une amie qui refait surface » – CEREMA
« Les réseaux d’assainissement « tout-tuyau », hérités de la pensée hygiéniste du XIXe siècle et de l’approche hydraulique de l’après-guerre, sont obsolètes. Les tensions liées à l’urbanisation et au changement climatique obligent les gestionnaires à opter pour des modèles de gestion intégrée des eaux pluviales. Il s’agit de (re)bâtir des villes perméables, transparentes à l’eau, qui limitent les perturbations occasionnées par l’imperméabilisation sur le fonctionnement hydrologique naturel et l’aléa inondation. Basculer d’une stratégie de gestion « contre » l’eau pluviale, considérée comme un risque, vers une gestion « avec » l’eau pluviale, perçue comme un atout de développement, est l’un des changements à conduire dans la fabrique de la ville de demain.
Court métrage « GOUTTE D’EAU »
Sous une chaleur écrasante, une goutte d’eau tente de trouver un coin d’ombre pour rester en vie. Accompagnée de l’esprit de la nature, les deux amis vont coûte que coûte se protéger du soleil.
Un court métrage réalisé par Mélodie LÉGER-RIMBERT, Kévin HAMIMI, Yu LIU & Anjun ZOU, pour ECV Animation.
Source : Plateforme LIG’up, créée par la Ligue contre le cancer
« Analyse des risques de présence de per- et polyfluoroalkyles (PFAS) dans l’environnement »
« Les PFAS ou substances poly ou perfluoroalkylées comptent plusieurs milliers de molécules différentes, toutes de synthèse, dont plusieurs centaines font l’objet de multiples usages allant des émulsifiants pour la lutte contre les feux d’hydrocarbure au traitement de surface des métaux ou aux fluides hydrauliques […]. Peu connus, ils ne sont devenus un sujet de préoccupation pour la communauté scientifique et les pouvoirs publics que depuis une vingtaine d’années dans le monde et plus récemment en France. Les risques liés aux PFAS nécessiteraient des actions de communication auprès de tous les publics. »
Source : Rapport de l’Inspection Générale de l’Environnement et du Développement Durable (IGEDD)
Nathalie Karpel : Une chercheuse qui sort de sa tour d’ivoire
Les chercheurs sont parfois perçus comme inaccessibles, déconnectés de la réalité, et pourtant ceux qui se frottent au grand public sont unanimes : ils y reviennent ! C’est le défi de Nathalie Karpel, chercheuse au CNRS de Poitiers. Son sujet d’étude ? Les micropolluants de l’eau et les solutions de potabilisation. Elle a déjà conçu le webdocumentaire « Le sens de l’eau ». Et compte bien continuer à explorer cette voie…
Avis relatif au projet de décret relatif à la sécurité sanitaire des eaux destinées à la consommation humaine
Conformément à l’article L. 1311-1 du code de la santé publique (CSP), le HCSP a examiné le projet de décret visant à transposer en droit français la directive 2020/2184 du 16 décembre 2020 relative à la qualité des eaux destinées à la consommation humaine (EDCH).
Le HCSP recommande que la définition actualisée, telle que préconisée dans son avis du 5 juillet 2021, des usages domestiques des EDCH soit intégrée dans le CSP.
Le décret et ses arrêtés d’application devront également s’attacher à réduire et mettre en cohérence l’ensemble des termes actuellement utilisés et ceux nouvellement introduits.
Le HCSP recommande à plusieurs niveaux du texte de maintenir ou d’introduire la consultation obligatoire de l’organisme de sécurité sanitaire compétent (Autorité de sûreté nucléaire, Anses ou HCSP, selon le cas).
La directive fixe des « valeurs guides » associées à des paramètres d’une liste de surveillance ainsi que des recommandations de gestion en cas de dépassement. Les modalités d’application de ces recommandations et le niveau réglementaire de ces valeurs guides associées à la liste de surveillance doivent être précisés dans le décret.
Il apparaît indispensable de procéder à une stratégie de mise en œuvre progressive des plans de gestion de la sécurité des eaux (PGSSE) dans les réseaux privés, qui doit concerner les réseaux les plus prioritaires (établissements recevant du public, usagers sensibles…). Les réseaux privés doivent être exclus du dispositif qui n’est pas applicable à cette échelle.
Le HCSP recommande par ailleurs d’autres modifications de forme
Une organisation inadaptée aux enjeux de la gestion quantitative de l’eau
Source : Documents | Cour des comptes
La présence de « polluants éternels » dans les eaux de surface « probablement sous-estimée » en France, selon Générations Futures
L’association Générations Futures a publié une étude ce 12 janvier montrant que la pollution des eaux de surface par les PFAS, une famille chimique complexe de près 4.500 composés distincts très persistants dans l’environnement, est généralisée sur le territoire français. Mais selon elle, la présence de ces substances, qui peuvent avoir de graves effets sur la santé, est probablement très sous-estimée, du fait des méthodes d’analyse employées. Sans attendre l’entrée en vigueur de la directive cadre sur l’eau révisée, Générations Futures appelle le gouvernement à rechercher partout en France, et en particulier dans les zones de captage pour l’eau potable, les 24 PFAS jugés prioritaires par la Commission européenne.
Le sens de l’eau , webdocumentaire sur les micropolluants
Un webdocumentaire réalisé sur les micorpolluants