protection de l’environnement

[Vidéo] “Une seule santé (2 minutes tout compris)”, Agir en BFC pour la santé du vivant

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« Nous faisons tous partie d’un même ensemble vivant, dont nous dépendons collectivement. Chaque entité, qu’il s’agissent des humains, des animaux, des végétaux ou des micro-organismes, représente un maillon de la chaîne de la vie. Si un des maillons est amené à disparaître, c’est toute la chaîne qui est impactée. La santé d’une espèce repose sur la santé de tous les êtres vivants et de leur environnement. Ce clip pédagogique explique l’approche « une seule santé ». »

Source : https://agir-bfc.fr/agirbfc/ressource/482/clip-2-min-une-seule-sant

“One Health (Une seule santé) pour concevoir des alternatives crédibles aux défaillances des systèmes alimentaires”, Cahiers Agricultures

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« Les politiques publiques parviennent difficilement à rendre les systèmes alimentaires plus sains et plus durables, en particulier parce que les enjeux environnementaux, agricoles, alimentaires et de santé sont souvent considérés séparément. Le concept de One Health a justement émergé pour raisonner conjointement l’ensemble de ces enjeux et trouver des solutions qui concernent à la fois la santé et l’environnement. Il repose sur un principe simple, selon lequel la protection de la santé de l’être humain passe par celle de l’animal et de leurs interactions avec l’environnement. Pour opérationnaliser le concept, nous proposons de considérer les organismes concernés (plantes, animaux, êtres humains, microorganismes), les échelles de temps et d’espace auxquelles les flux de matières ont lieu, ainsi que les niveaux de gestion qui les sous-tendent. Nous faisons l’hypothèse que cette approche, basée sur l’analyse des relations entre la gestion des agroécosystèmes et des élevages, l’alimentation humaine et leurs effets sur le système Terre (eau, sol, biodiversité…), permettrait de définir des politiques préventives et intégrées. Des exemples portant sur l’intensification de l’agriculture, les systèmes alternatifs, les controverses sur l’élevage et les évolutions à bas bruits de variables environnementales, sont examinés selon cette approche. Nous discutons des conditions du développement d’un récit mobilisateur d’acteurs territoriaux et des politiques publiques pour la promotion d’une approche systémique One Health dans laquelle l’alimentation est considérée comme un bien commun. »

Source : https://www.cahiersagricultures.fr/en/articles/cagri/full_html/2024/01/cagri240035/cagri240035.html

“Évaluation de la deuxième stratégie nationale sur les perturbateurs endocriniens : Pour une future stratégie «zéro exposition aux perturbateurs endocriniens»”, Inspection Générale des Affaires Sociales (IGAS)

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4 juillet 2024

« Les perturbateurs endocriniens (PE) sont des substances chimiques qui, en dérèglant la fonction hormonale des organismes vivants, peuvent affecter la santé humaine (cancers, troubles du neurodéveloppement, infertilité…), parfois sur plusieurs générations. Les PE ont également un impact sur la santé des écosystèmes (faune, biodiversité…). 

On les retrouve dans de nombreux objets et produits de la vie courante et professionnelle (produits ménagers, détergents, produits phytosanitaires, cosmétiques, aliments, etc.) et, de ce fait, également dans les milieux aquatiques, l’air et les sols.

Dans le prolongement d’une première stratégie lancée en 2014, une deuxième stratégie nationale sur les perturbateurs endocriniens (« SNPE2 ») a été adoptée en 2019, avec pour ambition de réduire l’exposition de la population et de l’environnement aux PE. Son plan d’action comporte cinquante actions regroupées en trois volets : Former et informer, Protéger la population et l’environnement et Améliorer les connaissances. »

Source : https://igas.gouv.fr/evaluation-de-la-deuxieme-strategie-nationale-sur-les-perturbateurs-endocriniens-0

“Évaluer l’impact environnemental des soins : l’exemple de la dépression”, The Conversation

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« Saviez-vous que le système de santé contribue de manière significative au changement climatique, puisqu’il est responsable d’environ 5 % du total des émissions de carbone dans le monde ? Ce fait attire de plus en plus l’attention. En réponse, 81 pays, dont le Royaume-Uni, qui vise à avoir un système de santé neutre en carbone d’ici 2045, se sont engagés à réduire l’empreinte carbone de leurs systèmes de santé. En France, le système de santé représente près de 8 % des émissions de gaz à effet de serre du pays. »

Source : https://theconversation.com/evaluer-limpact-environnemental-des-soins-lexemple-de-la-depression-228462

“Glyphosate : sur quelles pathologies portent les soupçons et avec quels niveaux de preuves ?” The Conversation

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Cet article revient sur l’autorisation, en novembre 2023, de mise sur le marché du glyphosate qui a été renouvelée pour les dix prochaines années. Et ce malgré l’avis défavorable des organismes de référence qui soupçonnent ce pesticide de favoriser la survenue de pathologies graves, et notamment des cancers. Ainsi l’auteur aborde les premiers soupçons de cancers et malformations congénitales ayant pesés sur le glyphosate et reprend l’expertise de l’Inserm en 2021. Est ensuite fait un rappel de ce qu’est le glyphosate et de comment il agit sur les organisme vivants, avec notamment un focus sur ses principales voies d’absorption. L’article aborde ensuite la question des études faites sur les populations et leurs conclusions, avec de nouvelles pistes envisagées comme de possibles perturbations du système endocrinien ou du microbiote. Compte tenu de ces données le lecteur se voit proposer une explication concernant la divergence d’avis entre l’agence européenne et les organismes de recherche. Enfin dans une dernière partie, l’auteur appelle l’Union européenne et ses agences à faire évoluer leurs méthodologies et à considérer la « santé planétaire », qui intègre non seulement la santé des êtres humains mais aussi celles des animaux et des écosystèmes qui leur sont associées.

Source :https://theconversation.com/glyphosate-sur-quelles-pathologies-portent-les-soupcons-et-avec-quels-niveaux-de-preuves-217583

“L’exposition virtuelle à la nature encourage-t-elle les comportements pro-environnementaux ?”, The Conversation

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Ayant noté que les motivations pour agir dans l’intérêt de la planète sont très diverses et peuvent être propres aux individus ou stimulées par des facteurs externes ou sociaux, des chercheurs ont cherché à savoir si le fait de favoriser la connexion à la nature pourrait stimuler le sentiment d’appartenance à la biosphère, et inciter les individus à être plus enclins à protéger l’environnement. Pour cela il ont étudié l’impact potentiel d’une exposition virtuelle à la nature (via le visionnage d’une vidéo) sur les comportements pro-environnementaux.

Source : https://theconversation.com/lexposition-virtuelle-a-la-nature-encourage-t-elle-les-comportements-pro-environnementaux-212400