santé publique
[Projet] « Ooonehealth, une seule santé, plusieurs mondes », sinonvirgule
« À quoi ressemblerait notre monde si nous étions pleinement conscients et organisés autour des interdépendances qui lient notre santé humaine à celles du vivant non-humain et des écosystèmes ?
Après Peut-on assurer un monde qui s’effondre ?, le cabinet de redirection écologique sinonvirgule poursuit son exploration de l’Anthropocène dans cette deuxième étude consacrée à la santé. Quels sont les impacts sanitaires de cette époque ? Comment réorganiser nos sociétés au profit d’une meilleure santé globale ? Comment faire de cette dernière un commun partagé avec d’autres espèces ? Et plus globalement, à quoi ressemblerait un monde réorganisé autour de l’approche One Health ? En mêlant enquête et design prospectif, ce travail apporte des premières pistes de réponses. Ce faisant, il fait converger les enjeux sanitaires et écologiques de notre époque ; et offre ainsi un horizon désirable pour construire un nouveau projet de société. »
Le projet comprend :
– une étude “ooonehealth, une santé plusieurs mondes”,
– un musée virtuel le MAMOH, Musée des Artefacts des Mondes One Health
– Trois guides pratiques :
>> “One Health pour les pratiques et politiques de santé. Guide de mise en application”
>> “One Health pour les politiques publiques territoriales. Guide de mise en application”
>> “One Health pour les entreprises . Guide de mise en application”
Source : https://www.ooonehealth.fr/
[Podcast] “Santé et chaleur, la sueur froide”, La Science, CQFD, France Culture, 58 min.
« Que se passe-t-il dans notre corps lorsqu’il fait très chaud ? Quels sont les mécanismes physiologiques mis en place par l’organisme pour faire face aux températures extrêmes ? Jusqu’à quel point peut-on s’adapter ? »
« Logements-Bouilloires. L’Etat reste de glace », Fondation Abbé Pierre
« En juillet 2023, alors que la France s’apprêtait à subir le quatrième été le plus chaud depuis le début du 20ème siècle, la Fondation Abbé Pierre rappelait que la précarité énergétique ne s’arrête pas aux portes de l’hiver. Face à des vagues de chaleur plus intenses, plus fréquentes, et dont la durée a été multipliée par 9 en quelques décennies, de plus en plus de personnes subissent l’inadaptation, voire l’inhabitabilité de leur logement plusieurs mois par an. Dans ces véritables « bouilloires » thermiques, bien au-delà de l’euphémisme du « confort d’été », se protéger des conséquences sanitaires et sociales de la chaleur est souvent impossible. […] Face à cette urgence, le ministre de la Transition écologique a annoncé que l’année 2024 serait « l’année de l’adaptation » avec la publication prochaine du troisième Plan National d’Adaptation au Changement Climatique (PNACC 3). Ce nouveau plan devra servir de référence à l’élaboration des politiques publiques d’adaptation dans une France à +4 °C en 2100. Une cinquantaine de mesures ont déjà été mentionnées par le Ministre, sans qu’aucune mesure concrète n’ait pour le moment été énoncée sur l’adaptation des bouilloires thermiques. La Fondation Abbé Pierre appelle l’État, les collectivités locales et les acteurs de l’immobilier à affronter d’urgence ce péril mortel de la précarité énergétique dans les logements, en particulier pour les plus fragiles d’entre nous. »
“La santé, un argument plus porteur que l’écologie pour verdir les villes ?”, The Conversation
« Il existe de nombreux paramètres qui contribuent à conditionner l’état de santé d’une personne, la santé étant définie par l’OMS comme un état de complet bien-être comprenant la santé physique, mentale et sociale. Contrairement aux idées reçues, une grande partie de ces déterminants de santé ne dépendent ni de facteurs génétiques, ni du système de soins : ils sont surtout liés à des facteurs socioéconomiques ou environnementaux et à des comportements individuels. Or ce sont trois dimensions sur lesquelles les collectivités ont la capacité d’influer, par leurs politiques de mobilité, de nature en ville, de lutte contre le phénomène d’îlot de chaleur urbain, de choix de mobiliers urbains, de promotion de vie sociale qu’elles peuvent encourager dans leur espace public, etc. »
[Podcast] “Antibiorésistance : un enjeu de santé publique”, One health, à la découverte de la santé globale, Fondation Paris Saclay
« Depuis l’invention des antibiotiques, les bactéries n’ont eu cesse de développer des stratégies leur permettant de leur résister, au péril de la santé humaine, animale et environnementale.
Dans cet épisode, Camille, Léa et Benjamin aborderont l’antibiorésistance sous le prisme de l’approche One Health, avec Céline Pulcini, professeur de Maladies Infectieuses et Tropicales à l’Université de Lorraine et au Centre Hospitalier Régional Universitaire de Nancy.
Nous découvrirons les mécanismes de l’antibiorésistance et comment les pratiques humaines influencent ce phénomène. Mais surtout, notre experte partagera les stratégies à adopter pour atténuer cette menace. »
Source : https://podcast.ausha.co/galien-et-apres/antibioresistance-un-enjeu-de-sante-publique
“Le changement climatique contribue à augmenter l’utilisation des pesticides en France”, The Conversation
« Ce sont des produits qui génèrent, à chaque fois qu’ils sont évoqués, des débats passionnés : les pesticides. Objets de nombreuses querelles sanitaires, économiques, écologiques, leur première vocation est pourtant plutôt consensuelle : protéger les cultures contre les pertes de rendements dues aux ravageurs, qui peuvent être parfois considérables. On estime ainsi que
10 à 30 % de la production végétale à travers le monde est détruite par ces nuisibles de toutes sortes.
Mais l’utilisation des pesticides est aujourd’hui mise en cause pour plusieurs raisons, notamment leurs impacts sur la biodiversité, sur la santé des agriculteurs, ou sur la santé des consommateurs. Leur efficacité est également mise en cause, avec des substances qui deviennent de moins en moins efficaces avec le temps.
Les fléaux à l’origine de l’utilisation des pesticides semblent, eux, destinés à augmenter avec un accroissement des températures causé par le changement climatique qui pourrait accentuer la pression des ravageurs. Malgré les réserves existantes concernant l’utilisation des pesticides, se dirige-t-on vers une augmentation inexorable de leur usage ? »
“Pesticides : le nouvel indicateur du plan Écophyto compromet la protection de la santé”, The Conversation
« Suite au mouvement de colère qui a mobilisé une partie du secteur agricole au début de l’année 2024, le gouvernement français avait annoncé en février la suspension du plan Écophyto, qui visait à diminuer l’usage des pesticides en France à l’horizon 2030.
Le 6 mai dernier, une nouvelle stratégie, baptisée Écophyto 2030, a été dévoilée. Si l’objectif de réduction de 50 % des pesticides est toujours d’actualité, le manque d’ambition de ce nouveau plan a provoqué la colère d’une partie du monde scientifique et médical.
Un collectif rassemblant près de quatre cents chercheurs, plus de deux cents soignants ainsi que des sociétés savantes, des associations de patients et de défense de l’environnement en a dénoncé le contenu dans une tribune publiée dans le quotidien Le Monde (cosignée par les auteurs du présent article).
Parmi les points les plus problématiques figure l’abandon de l’indicateur « historique » utilisé pour mesurer les usages des pesticides, et donc évaluer la réduction réelle de leur utilisation. Le nouvel indicateur est beaucoup moins approprié que l’ancien, et les arguments avancés pour son adoption sont, pour le moins, peu solides. Voici pourquoi. »
“Hépar, Perrier, Vittel, Contrex… La qualité sanitaire des eaux du groupe Nestlé « pas garantie » selon une expertise remise au gouvernement”, France info
« Dans cette note de l’Anses transmise au gouvernement en octobre dernier, que franceinfo dévoile, des experts évoquent un « niveau de confiance insuffisant » pour assurer « la qualité sanitaire des produits finis ».
[REPLAY] “Sommet de la santé durable 2024”, Association pour la santé publique du Québec

« 2024 a débuté avec le second Sommet de la santé durable. Organisé simultanément au Musée de la civilisation de Québec, au Jardin Botanique de Montréal et en virtuel, cet événement a marqué un jalon significatif dans la quête d’un avenir de santé durable au Québec. Ces deux jours d’échanges, de réflexions et d’engagement ont créé une synergie collective en faveur de la prévention et de la promotion de la santé.
Les présentations inspirantes des 40 intervenant·es (toutes téléchargeables ICI), les discussions animées lors des pauses, et la diversité des centaines de participant·es ont contribué à faire du Sommet un événement exceptionnel. Les thèmes fondamentaux tels que la réduction de la maladie, la gouvernance de la santé, l’action précoce, l’atténuation des inégalités, et la promotion d’une seule santé, ont été abordés successivement.
La présence du Dr Horacio Arruda, Sous-ministre adjoint au Ministère de la Santé et des Services sociaux, et de la Dre Theresa Tam, Administratrice en chef de la santé publique du Canada, a solidifié le Sommet de la santé durable en tant que lieu incontournable pour des discussions de premier plan envers les initiatives de prévention et de promotion de la santé au Québec. »
Source : https://www.youtube.com/playlist?list=PLi-6aezRy1FTfP_2k6Yrtx50m1vbA61mM
“PRSE4 Auvergne-Rhône-Alpes”, La santé environnement en Auvergne-Rhône-Alpes

« Le 4ème Plan Régional Santé-Environnement (PRSE4) Auvergne-Rhône-Alpes entend contribuer à l’intégration de la santé-environnement dans les politiques publiques à l’échelle régionale et locale. Ses buts sont de répondre aux préoccupations des citoyens et des acteurs des territoires sur le lien entre santé et environnement, et de les inciter à agir pour prévenir les risques pour leur santé dans une approche favorable à la santé humaine, animale, végétale et des écosystèmes, c’est-à-dire dans une approche « Une seule santé ».
Le PRSE4 est structuré autour de 3 axes et 11 fiches d’actions, pour relever le défi des « territoires en actions » en matière de santé-environnement, par la promotion de la santé et la réduction des risques. Les 3 axes ont été conçus dans une approche intégrée, au sens où ils se complètent et sont étroitement articulés les uns avec les autres. »
Source : https://www.auvergne-rhone-alpes.prse.fr/telechargez-le-prse4-auvergne-rhone-alpes-a260.html