micro-polluants
“Les travaux de l’Anses pour mieux connaître les perturbateurs endocriniens”, Anses
« De nombreuses substances sont suspectées de perturber le système endocrinien, telles que les bisphénols, les phtalates, les parabènes, les composés bromés et perfluorés ou encore les alkylphénols. Depuis de nombreuses années, l’Anses mène un important travail pour évaluer les substances chimiques ayant des propriétés potentielles de perturbation endocrinienne. Elle finance également des recherches pour mieux connaître les effets et les mécanismes d’action de ces substances et évalue l’exposition de la population. »
Source : https://www.anses.fr/fr/content/travaux-anses-sur-perturbateurs-endocriniens
“La face cachée des cosmétiques : quels risques pour la santé reproductive des adolescentes ?”, The Conversation
« Les rayons «hygiène et beauté» de nos supermarchés regorgent de dizaines de produits qui promettent d’adoucir la peau, de faire sentir meilleur, d’allonger les cils, de diminuer les rides, de dompter les cheveux bouclés, voire de changer la couleur des lèvres, de la peau ou de la chevelure, parfois de façon semi-permanente. Malheureusement, en ces lieux, un adage sonnant comme un avertissement trouve une résonance particulière : «si cela semble trop beau pour être vrai, c’est probablement le cas… » »
“PFAS : Mieux connaître les expositions et les dangers”, Anses
« Les per- et polyfluoroalkylées, désignés collectivement sous le nom de PFAS, sont des substances chimiques qui partagent principalement une caractéristique : celle d’être très persistantes dans l’environnement. Cette persistance conduit à en retrouver dans tous les compartiments de l’environnement. Et, compte tenu du très grand nombre de substances, le défi majeur est de prioriser les actions pour prévenir ou limiter les risques sanitaires et environnementaux. L’Anses s’intéresse de longue date aux PFAS. Elle mène en parallèle plusieurs actions dans ce sens : caractériser les substances les plus fréquemment retrouvées, les niveaux de contamination auxquels les populations sont exposées et identifier les PFAS les plus toxiques. Tour d’horizon de ces travaux. »
Source : https://www.anses.fr/fr/content/pfas-mieux-connaitre-les-expositions-et-les-dangers
[Communiqué de presse] « Perturbateurs endocriniens : la nécessité d’aller plus loin dans l’information des consommateurs », Réseau Santé Environnement
« À compter de ce jour, les industriels sont tenus de mettre à disposition de tous l’information sur la présence de perturbateurs endocriniens (PE) avérés, présumés ou suspectés dans les produits de la vie courante. Cette mesure fait suite à 3 arrêtés ministériels du 12 octobre 2023 signés par le ministre de la Transition Écologique et de la Cohésion des Territoires et le ministre de la Santé et de la Prévention.[…]
La mise à disposition du public des informations sur la présence des perturbateurs endocriniens concerne les denrées alimentaires, les substances, les mélanges et les articles, à l’exception des médicaments. Elle inclut notamment les cosmétiques, les produits ménagers, les textiles, les jouets, les meubles ou encore les ustensiles de cuisine. Elle porte sur la présence de substances dès lors que leur concentration dépasse 0,1 % en pourcentage massique, que ce soit dans le produit lui-même ou dans son emballage primaire ou son emballage de vente. »
[VIDEO] Enquête de santé – “Pollution intérieure, la menace invisible”, France Télévision

« L’air intérieur des maisons referme une multitude de polluants ; pour certains, la concentration y est cinq à sept fois plus élevée que dans l’air extérieur. D’où viennent-ils ? Quel est leur impact sur la santé ? Quelles sont les solutions pour assainir l’air des habitations ? Moisissures, poussières, meubles, peinture, produits ménagers, désodorisants, sprays aux huiles essentielles, bougies ou encens peuvent provoquer des maladies respiratoires ou aggraver la sévérité d’un asthme. Beaucoup de ces substances sont aussi des perturbateurs endocriniens. Sur la durée, ils peuvent engendrer des maladies comme le cancer, favoriser le diabète ou l’obésité. Ils peuvent aussi s’avérer délétères pour la reproduction humaine ou le développement cérébral des enfants. »
[PODCAST] « Comment lutter contre les pollutions intérieures ? », Grand bien vous fasse, France Inter
« Une émission en partenariat avec « Enquête de santé » de France 5, qui consacre une émission visant à alerter sur la pollution au sein même de notre lieu de vie, les effets des moisissures ou des produits ménagers sur notre santé. Un danger encore trop souvent sous-estimé. »
“Vers une restauration collective sans plastique : l’exemple de Poitiers”, Santé Environnement Nouvelle-Aquitaine
« D’ici le 1er janvier 2025, les collectivités devront avoir mis en place des mesures de substitution des contenants alimentaires composés de plastique pour la cuisine, la réchauffe et le service dans la restauration collective. Un objectif fixé par la loi Egalim de 2018 et la loi anti-gaspillage et économie circulaire (AGEC) de 2020. A Poitiers, la transition est déjà opérée depuis de nombreuses années. Retour d’expérience avec Elodie Bonnafous, adjointe à la production alimentaire locale et à la restauration collective. »
[Rapport public] Cyrille Isaac-Sibille, “Per-et polyfluoroalkylés (Pfas), pollution et dépendance : comment faire marche arrière ?”, Actu-environnement.com
« À la suite de la mise en lumière médiatique de la contamination aux PFAS de la Vallée de la chimie, Élisabeth Borne, alors Première ministre, a confié, en juillet 2023, au député Cyrille Isaac-Sibille le soin de compléter le diagnostic sur les usages et l’imprégnation dans les différents milieux. Remis début 2024, son rapport affine l’état des lieux et montre à quel point les PFAS ont diffusé dans notre quotidien et notre économie. »
[Brochure] « L’alimentation santé planétaire », Collège de la médecine générale
« Dépliant destiné au grand public qui définit le concept de « santé planétaire » et prodiguant des conseils sur l’alimentation : boire l’eau du robinet, augmenter le « fait maison », acheter varié local et/ou de saison, privilégier le bio, augmenter la part de végétal. Pour chaque conseil, le dépliant précise en quelques mots quels sont les « avantages pour chacun », les « avantages financiers » et les « avantages pour la planète. » [Résumé Agir ese]
Source : https://agir-ese.org/mediatheque/lalimentation-sante-planetaire
Mieux comprendre les PFAS, leurs effets, les textes applicables, ARS Auvergne-Rhône-Alpes
Sur cette page de son site, l’ARS ARA revient sur les PFAS (perfluoroalkylés et polyfluoroalkylés) et sur les conditions d’exposition des populations en cinq points clés :
- Que sont les PFAS et comment est-on exposé?
- Les effets des PFAS sur la santé
- La réduction des PFAS à la source
- La surveillance dans l’eau du robinet
- La surveillance dans les denrées alimentaires