Vers un meilleur système d’identification des perturbateurs endocriniens
Coordonné par l’Inserm, le projet européen OBERON vise à développer des batteries de tests qui permettront – enfin – de cerner avec plus de précisions et de certitude comment des composés suspectés d’être des perturbateurs endocriniens pourraient induire des troubles métaboliques et, à terme, d’identifier ces composés.