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[Vidéo] “Santé environnementale : un nouvel épisode des Martin sur les ondes électromagnétiques”, Mutualité française Nouvelle-Aquitaine

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« Micro-ondes, téléphones mobiles, portables, babyphones… Ces objets nous rendent bien des services au quotidien. On n’imagine même plus pouvoir s’en passer ! Pourtant, ils dégagent des ondes électromagnétiques dont les effets sur la santé peuvent inquiéter. Cela est d’autant plus vrai pour les tout-petits. En effet, leur boite crânienne est plus perméable que celle des adultes. Pas de panique ! Ce nouvel épisode de la saga des Martin vous indique les précautions à prendre pour prendre soin de la santé de bébé, mais aussi de toute la famille. »

Source : https://nouvelle-aquitaine.mutualite.fr/actualites/sante-environnementale-un-nouvel-episode-des-martin-sur-les-ondes/

“Inégalité d’état de santé respiratoire chez le jeune enfant et exposition à la pollution de l’air”, Insee

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« Cet article étudie les effets différenciés de l’exposition des jeunes enfants à la pollution de l’air sur leur recours à des soins en lien avec les maladies respiratoires, en fonction du niveau de vie des parents et de facteurs de vulnérabilité liés à leur état de santé. Il s’appuie sur un appariement de bases de données administratives françaises, l’EDPSanté. Fondée sur une méthode quasi-expérimentale, cette étude met d’abord en évidence des effets significatifs sur les admissions aux urgences et la délivrance de médicaments contre les maladies respiratoires lors de chocs de pollution de l’air, supposés exogènes car liés à des inversions thermiques. En utilisant une approche de machine learning générique, elle met ensuite en évidence des effets hétérogènes d’un enfant à l’autre : ces effets sur le recours au soin affecteraient principalement 10% des jeunes enfants, caractérisés par une fragilité de leur santé à la naissance et un niveau de vie parental plus faible. Nos résultats indiquent que les politiques localisées de réduction de l’exposition à la pollution de l’air, si elles étaient ciblées prioritairement en fonction de la vulnérabilité particulière de certaines populations, pourraient être plus efficaces. »

Source : https://www.insee.fr/fr/statistiques/8200390

“Lien entre la concentration en CO2 dans les salles de classe et l’apprentissage des enfants”, Santé publique France

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« Une vingtaine d’études ont été publiées depuis 2013 sur le lien entre les concentrations en CO2 dans les salles de classe et les performances cognitives et scolaires des enfants, dont près de trois quarts d’articles individuels (n=16). Les résultats de ces études vont globalement en faveur d’un effet positif du renouvellement d’air sur l’apprentissage des enfants. Néanmoins, seul un faible nombre (n=4/16) a été jugé comme ayant une qualité globalement satisfaisante, et aucune d’entre elles n’a été jugée applicable au contexte français. Aujourd’hui, les données disponibles ne sont donc pas suffisantes pour disposer d’une relation concentration-risque permettant d’envisager l’application d’une démarche d’évaluation quantitative d’impact sur la santé (ÉQIS). Ces données constituent néanmoins un argument supplémentaire de l’importance de l’amélioration du renouvellement de l’air dans les établissements scolaires. » [Résumé éditeur]

Source : https://www.santepubliquefrance.fr/determinants-de-sante/pollution-et-sante/air/documents/enquetes-etudes/lien-entre-la-concentration-en-co2-dans-les-salles-de-classe-et-l-apprentissage-des-enfants?utm_source=brevo&utm_campaign=Lettre%20dactualits%20documentaires%20285&utm_medium=email

“Évaluation quantitative d’impact sur la santé (ÉQIS) de la qualité de l’air dans et autour des établissements scolaires. Pertinence, faisabilité et première étude nationale ?” Santé publique France

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« Garantir une qualité de l’air favorable à la santé dans les établissements scolaires est un enjeu de santé publique mais encore insuffisamment pris en compte. La réalisation d’évaluation quantitative des impacts sur la santé (ÉQIS) de la pollution de l’air de ces environnements pourrait être un bon levier pour convaincre les acteurs de l’importance d’agir. Dans ce contexte, une étude de pertinence et de faisabilité a été menée et a permis de distinguer deux approches possibles pour déployer de premières ÉQIS sur le sujet : Une première approche ayant pour objectif d’évaluer l’impact d’une amélioration de la qualité de l’air des salles de classe des écoles élémentaires – en considérant les concentrations en formaldéhyde et la présence de moisissures – sur la prévalence de l’asthme de l’enfant de 6 à 11 ans ; une deuxième approche s’intéressant aux bénéfices d’une réduction de l’exposition aux polluants issus du trafic routier présent à proximité des établissements scolaires – en considérant le NO2 comme marqueur de cette pollution – sur l’asthme de l’enfant. » [Résumé éditeur]

Source : https://www.santepubliquefrance.fr/determinants-de-sante/pollution-et-sante/air/documents/enquetes-etudes/evaluation-quantitative-d-impact-sur-la-sante-eqis-de-la-qualite-de-l-air-dans-et-autour-des-etablissements-scolaires.-pertinence-faisabilite-et?utm_source=brevo&utm_campaign=Lettre%20dactualits%20documentaires%20285&utm_medium=email

« Une étude de l’Inserm s’intéresse au lien entre le risque de leucémie pédiatrique et le fait d’habiter à proximité de vignes », Inserm

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« Comprendre les conséquences d’une exposition environnementale aux pesticides, et notamment l’impact sur la santé, est actuellement un enjeu de santé publique. Si de nombreuses études épidémiologiques pointent du doigt le risque d’une exposition domestique et professionnelle[1] sur la santé des enfants, les données demeurent limitées concernant les risques pour les riverains de parcelles agricoles traitées aux pesticides. Une nouvelle étude de l’Inserm, menée par des scientifiques au sein du laboratoire CRESS (Inserm/Université Paris Cité) en collaboration avec Santé publique France, et avec le soutien financier de l’Anses et de l’INCa, apporte un nouvel éclairage, en se penchant sur le risque de leucémies pour les enfants résidant près de parcelles viticoles. L’équipe de recherche montre que le risque de leucémie n’augmente pas avec la simple présence de vignes à moins de 1000 m de l’adresse de résidence. Cependant, elle met en évidence une légère augmentation de ce risque en fonction de la surface totale des vignes présentes dans ce périmètre. L’ensemble des résultats est décrit dans le journal Environmental Health Perspectives. »Comprendre les conséquences d’une exposition environnementale aux pesticides, et notamment l’impact sur la santé, est actuellement un enjeu de santé publique. Si de nombreuses études épidémiologiques pointent du doigt le risque d’une exposition domestique et professionnelle[1] sur la santé des enfants, les données demeurent limitées concernant les risques pour les riverains de parcelles agricoles traitées aux pesticides. Une nouvelle étude de l’Inserm, menée par des scientifiques au sein du laboratoire CRESS (Inserm/Université Paris Cité) en collaboration avec Santé publique France, et avec le soutien financier de l’Anses et de l’INCa, apporte un nouvel éclairage, en se penchant sur le risque de leucémies pour les enfants résidant près de parcelles viticoles. L’équipe de recherche montre que le risque de leucémie n’augmente pas avec la simple présence de vignes à moins de 1000 m de l’adresse de résidence. Cependant, elle met en évidence une légère augmentation de ce risque en fonction de la surface totale des vignes présentes dans ce périmètre. L’ensemble des résultats est décrit dans le journal Environmental Health Perspectives.« 

Source : Inserm